Le réseau de promotion touristique de 11 communes
8 IMAGES CLES POUR COMPRENDRE LE PROJET
L'imaginaire à l'oeuvre tient lieu de programme d'action pour les Franciscaines, lieu culturel d'un nouveau genre dont les travaux s'achèveront en 2021. Dans cet ancien lieu de culte, reconfiguré à la mesure d'un projet culturel, chacun sera invité à laisser son imaginaire circuler pour vivre une expérience inédite, ouverte à tous les possibles. Méditer, se recueillir, se recentrer sur soi : à ces gestes répétés depuis plus d'un siècle par les religieuses qui occupèrent le site avant de le céder à la ville en 2012, le lieu associe désormais : s'informer, se parler, s'écouter, se cultiver, découvrir, s'enrichir, traîner, se distraire, à travers des parcours ajustés à chaque profil de visiteurs.
OUVRIR LES PORTES
Un portail monumental
L'enjeu de la rénovation architecturale des Franciscaines est son ouverture au public, son ambition de rayonnement et la mise en valeur de ses bâtiments. Délivré de son mur d’enceinte, les Franciscaines s ’offre généreusement à tout le monde. Par sa monumentalité la porte signifie clairement son nouveau statut de lieu culturel public. L’accessibilité est renforcée par un parvis et une organisation de la voie publique en rupture avec l’Avenue de la République pour capter l’attention.
LA GRANDE GALERIE
Une rue numérique
Après le haut portail, on entre aux Franciscaines par la grande galerie. A cet endroit du bâtiment, tous les planchers sont détruits pour laisser place à une faille de 9 mètres de haut. Elle est animée d’outils numériques pour accompagner chacun dans sa visite. Le visiteur choisit ce qu’il veut vivre et devient acteur de son séjour selon ses centres d’intérêt, ses envies du moment, le temps dont il dispose et l’humeur qui l’anime. La galerie est ouverte sur tous les espaces des Franciscaines.
Deux cours jumelles
L’ancien cloître et ce qui fut la cour de récréation de l’école Saint Joseph composent deux cours carrées jumelles de 400 m² chacune.
Ces deux cours sont les deux faces d’une même fonction : la rencontre et le partage. Chacune d’elles est couverte de verre. C'est l'une des clés du projet : apporter de la lumière dans le bâtiment.
Le cloître
Agora du quotidien
Le cloître – à droite de la galerie - est un lieu ouvert sur tous les espaces du rez-de-chaussée. C’est un lieu chargé d’histoire propice au recueillement, aux rencontres et aux échanges. C’est aussi un lieu du quotidien avec le fil d’actualités – espace de consultation des journaux.
La cour des expositions temporaires
Une programmation rythmée
Les Franciscaines s’inscrira dans une dynamique d’échange d’expositions temporaires avec d’autres musées et institutions afin de renouveler son programme sans cesse. Chaque été : une exposition de grande envergure s’installera dans cet espace situé à gauche de la galerie. Ici, la lumière est filtrée par des lames brise-soleil qui offrent un confort idéal pour contempler les œuvres qu’elle abrite. Une série d’arcades blanches délimitent l’espace, permettant une utilisation différente. Une pyramide de lumière particularise le centre de la salle.
Le musée André Hambourg
La profusion de la donation Hambourg à la Ville de Deauville permet d’envisager un espace permanent entièrement dévolu à sa valorisation. Des thématiques différentes replaceront l’évolution de la peinture d’André Hambourg dans le cadre plus large de l’histoire de l’art de la période en comparant ses productions artistiques à celles d’autres artistes.
L'auditorium
De multiples configurations de spectacles
L’auditorium (accessible par le cloître) s’installe dans l’ancienne chapelle. Ses gradins rétractables permettent d’envisager de multiples configurations : lectures intimistes, rencontres, concerts, représentations de danse, théâtre…Totalement libérée de ses gradins, la salle peut devenir un tout autre espace.
Le principe des univers
Une mise en commun des oeuvres par thèmes
Rassembler et scénariser dans un même espace les multiples ressources sur un sujet pour en faciliter l’exploration et l’appropriation par tout à chacun. C’est le défi que se sont lancés les équipes projet. Pourquoi ? Parce que les collections des Franciscaines prennent toutes les formes : du documentaire au chef d’oeuvre pictural, d’un livre à un film, du témoignage d’un Deauvillais à la photographie d’un artiste.
Les milliers de documents acquis par la Ville vont être répartis dans des univers aux multiples facettes. Les visiteurs y accéderont de façon très innovante. Dans le principe, l’expérience pourrait ressembler à celle vécue par un internaute sur la toile où l’on surfe d’un sujet à l’autre. Les Franciscaines ajouteront une scénarisation ludique, interactive, intuitive dans un environnement voulu optimal pour la consultation.